Le club canal historique : Les temps anciens

Le WC est dehors, mais les mauvaises odeurs demeurent...
Rien n’y fait... dans ces murs, persistent les relents nauséabonds de l’intolérance et de la bêtise.
Je me souviens de la brochette d’imbéciles serviles qui s’étaient laissé embarquer dans l’organisation d’un procès en hérésie à l’encontre du membre espiègle qui déplaisait au chef bien aimé.
Je me souviens de l’acte d’accusation long comme le bras ânonné par Damien P. avec l’aisance d’un écolier de CP (premier trimestre) et le charisme d’une huitre.
Je me souviens du chef, sournoisement en retrait, encourageant sa troupe de mollusques à baver sur l’accusé.
Je me souviens de Jacky H., de Mélanie B., de Yves T., de Michel D., de Damien P., de Jeannot G., d’Estelle A. et évidemment de WC...
Depuis, les moules ont courageusement viré le chef...
Courageux comme tous ces bons français qui, en d’autres temps, par respect pour le chef, ont chanté « Maréchal nous voila »" et crié « Vive Pétain » jusqu’en Juin 44, puis, « A mort Pétain », « Vive De Gaulle », certains même arborant alors un brassard de résistant.
Ainsi va le monde des toutes petites gens....
Voila qu’ils se regroupent en une meute haineuse..
Nos réacs aux petits pieds se rassemblent dans un mystérieux collectif et se lancent dans la dénonciation calomnieuse...
Pour se faire, ils mettent tout leur « talent » dans la réalisation de faux aussi grossiers et vulgaires que leurs auteurs, faux destinés à compromettre le mouton... Ils regretteront de ne pas avoir participé aux ateliers Photoshop et autres... car franchement les gars, c’est très mal fait... et ça ne trompera personne, et surtout pas un juge... he oui...c’est puni par la loi tout ça...
Vendredi.. jour du poisson...
Les vieux thons thons menteurs complotent ... ça sent fort la marée.... sont plus trop frais... tenaces les mauvaises odeurs
En ces temps de confinement... optez pour la conserve... et... c’est inodore.
Petit résumé de l’affaire.
C’est certain, ils ne s’attendaient pas du tout à cela lorsqu’ils m’ont exclu du club. Déjà, la calomnie et le mensonge avaient fourni les prétextes à l’organisation d’un procès destiné surtout à m’humilier.
Mais il fallait vraiment que les instigateurs de cette bassesse soient eux-mêmes dépourvus d’honneur et d’amour propre pour s’imaginer que j’allais en rester là.
Clairement, ils sont tombés sur un « os »... un gros nonossse bien déterminé à montrer qu’il n’oublierait pas.
Et quoi de mieux que l’humour et la satyre pour appuyer là où ça fait mal ?
Ils auraient pu user des mêmes outils pour répondre, car franchement...., quand on a un mouton à pourfendre... mais il faut bien avouer que ni l’humour ni la créativité ne font partie de leur culture, non, leur truc à eux, c’est la calomnie et le coup bas, de préférence, en meute.
Renouant avec la vieille tradition française de la dénonciation qui fit les beaux jours d’une époque heureusement révolue, ils ont compilé un dossier d’environ 200 pages (je n’ai pas tout lu ni tout compté...) dont les meilleures (si on peut dire...) feuilles ont été transmises au maire d’Héming et sont certainement visibles en mairie et l’intégralité je pense accessible en copie pour les privilégiés dans les archives du club, le tout à l’entête du club photo, signé par 6 membres anonymes d’un mystérieux collectif et envoyé au maire de Vasperviller afin de l’informer qu’un infâme administré, moi, diffusait (entre autres...) des messages et images racistes ainsi que d’odieuses satyres politiques.
La diffusion d’images où de propos à caractère raciste est un délit, et effectivement, cela pouvait interpeller.
Le « Hic », c’est que les images et publications racistes qu’on m’attribuent sont des faux, tellement faux que ça se voit comme le nez au milieu de la figure, que ces faux ont été laborieusement bricolés par un « génie » de la contre façon tellement haineux à mon encontre qu’il a oublié de prendre un minimum de soin pour élaborer son ignoble torchon.
Quant au reste du dossier... bof... un recueil de mails que j’ai envoyés à diverses personnes, qui sont des documents personnels dont la diffusion n’est pas autorisée, mais bon...
Or donc, maintenant, je ne rigole plus, j’abandonne l’humour et la satyre, j’attaque !
Je le fais au grand jour, frontalement et sans coup bas !
Mercredi 11 mars 2020, j’ai adressé une « lettre ouverte » par courrier au Président de grain d’ciment.
Et à ceux qui douteraient encore de ma détermination, je conseille de bruler un cierge à l’attention de Sainte Rita.
Nota : Suite à un entretien avec mon conseil, un avenant au courrier du mercredi 11 mars 2020a été envoyé jeudi 12 mars 2020. Il sera également consultable ici vendredi 13 mars 2020 au matin.